Michel Jeanne fait partie des quelque 300 prêtres diocésains français qui sont partis outre  Atlantique au titre du « Pôle Amérique Latine » de l’épiscopat de France (l’ancien CEFAL). Mais, alors que la plupart des engagements étaient de trois ou cinq ans renouvelables une ou deux fois, pour un certain nombre d’autres cette présence est devenue « à vie ». Ce fut le cas de Michel Jeanne qui y mourut après trente-trois ans d’enfouissement en cette communauté humaine à laquelle il avait été envoyé. Mais d’où vient chez Michel cette radicalité au service des travailleurs de Colombie, dans l’esprit et dans le temps ?
 

Michel Jeanne fait partie des quelque 300 prêtres diocésains français qui sont partis outre  Atlantique au titre du « Pôle Amérique Latine » de l’épiscopat de France (l’ancien CEFAL). Mais, alors que la plupart des engagements étaient de trois ou cinq ans renouvelables une ou deux fois, pour un certain nombre d’autres cette présence est devenue « à vie ». Ce fut le cas de Michel Jeanne qui y mourut après trente-trois ans d’enfouissement en cette communauté humaine à laquelle il avait été envoyé. Mais d’où vient chez Michel cette radicalité au service des travailleurs de Colombie, dans l’esprit et dans le temps ?